Catégories : Femmes fessées Lesbiennes bondage SM entre filles calins fist kiss
il y a 9 ans
Une de mes expériences les plus mémorables en matière de punition fût celle que j’ai administrée à Sarah McCluskey, qui à l'époque était une étudiante fraîchement transférée d'un autre établissement. Une école religieuse catholique réputée pour sa discipline et ses principes éducatifs particulièrement rigides.
Sarah était un véritable petit « bonbon », une fille sans prétention, bon élève et sans aucun problème de comportement. Elle eut simplement la malchance de ne pas être au courant de certaine règles de l'école, certes assez nombreuses, rigoureuses, et à vrai dire complexifiées à loisir, et peut-être plus important, de ne pas avoir répondu favorablement aux avances pressantes d'un de nos jeunes instructeurs de sexe masculin troublé par ses charmes.
Ma philosophie en matière d'éducation des jeunes filles est simple: une jeune fille fera toujours son bénéfice d'un peu de discipline, même si elle n'a pas commise de faute particulière. Je dirai même, surtout si elle n’a pas commise de faute particulière ! Après tout, toutes les filles sont fautives à un moment ou l'autre, en acte ou en pensée. Et il serait injuste de ne punir que celles qui se font prendre! Sarah devait donc être punie pour les fautes dont elle était accusée, mais aussi pour celles qui n’avaient pas été découvertes! En plus, je soutiens que toute élève punie doit subir sa punition sans réserves, en faisant preuve de la plus absolue obéissance. Cette soumission est la manifestation que l’élève a intériorisé la nécessité de la punition. Quelle la considère comme juste ou non. Cette totale soumission est évidemment d’autant plus importante lorsque l’élève n’a pas véritablement commis de faute !
Au début de chaque année, les filles de notre école reçoivent chacune un exemplaire des règles de l'établissement. C'est une liste assez longue, et les jeunes filles apprennent vite qu'il est dans leur propre intérêt à l'étudier de très près. Même alors, il est impossible d'éviter de contrevenir un jour ou l'autre au règlement intérieur. Les filles transférées en cours d'année reçoivent une copie du document. L'instructeur chargé du suivi de leur classe doit veiller à leur en transmettre une. Pour le malheur de Sarah, l'instructeur en question était celui que j'ai mentionné plus haut, et pour se venger, il ne transmit pas l'exemplaire du règlement.
Le résultat fut que, après deux semaines, Sarah réussit à amasser une véritable collection de contraventions aux règles de l'institution. Pourquoi les choses ont-elles ainsi dérivées pendant deux semaines? Je dois supposer que notre instructeur aux pulsions bafouées voulait que sa vengeance soit particulièrement cuisante. Je n’allai pas le décevoir : elle allait l'être!
En tout cas, lorsque notre malheureuse Sarah entra dans mon bureau pour honorer son rendez-vous, j'avais devant moi l'un des pires dossiers de que j'avais vu dans ma carrière. Je l'examinai quelques instants seulement avant son arrivée et je savais que ce serait un vrai défi de s'assurer que la jeune Sarah soit vraiment punie avec toute la rigueur qu’elle méritait tout en l’amenant à accepter cette punition comme nécessaire.
Mon excitation redoubla quand la coupable est entrée dans mon bureau sur mon ordre. La jeune fille était vraiment l'incarnation de la beauté et de l'innocence. D’origine irlandaise par sa mère, c’était une vraie rousse à la peau blanche couverte de taches de rousseur sur tout le corps. Cependant ses traits étaient d'une délicatesse que j'ai rarement trouvée chez les filles aux cheveux roux. Ses yeux étaient d'un bleu profond, ses lèvres étaient rouges et pleines. Elle avait des manières agréablement humbles et elle avait un air plus innocent et réservé que ce à quoi l'on s'attendait de la part d'une jeune fille majeure et vaccinée.
Son uniforme scolaire réglementaire moulait sa taille au plus près. La veste tombait de chaque côté des seins que l'on devinait somptueux et qui poussaient contre le tissu blanc, bien repassé, de la chemise. La cravate rouge rayée passait entre les deux globes de chairs, soulignant encore leur volume. Sa jupe plissée lui tombait à mi cuisses et dévoilait ainsi de grandes jambes superbement galbées.
Sarah venait clairement de pleurer. Ses yeux étaient rouges et il y avait des traces de ses larmes sur ses belles joues. Elle faisait de son mieux pour réprimer les larmes résiduelles, mais ne pouvait s'empêcher de s a n g loter.
Elle entra, ferma la porte, puis hésita, ne sachant que faire. Elle était visiblement impressionnée par la solennité de l’accueil. Il faut dire qu’assise derrière mon bureau, habillée comme d’habitude de façon assez stricte avec une jupe marron qui me tombait à mi-cuisses et d’une veste assortie et d’une chemise blanche, j’impressionnai facilement. Ma peau mate, mes cheveux noirs rehaussés d’un chignon, mes lunettes fines, n’aidaient pas à me rendre plus affable. Du haut de mes 40 ans, j’étais pourtant encore assez belle.
«Viens ici, ma jolie », dis-je d'une voix aussi amicale que possible.
« Prends un siège », ajoutais-je en indiquant une chaise devant mon bureau.
Elle semblait reconnaissante envers moi. Elle a rapidement glissé vers l'avant et assis son postérieur sur le bord de la chaise. Il était évident que la pauvre fille avait besoin de réconfort en ce moment de crise. Peut-être qu'elle espérait que je sois de quelque façon cette source de réconfort, même si elle n'avait vraiment pas d'autre raison de le penser hormis le fait que je lui parlais d'une manière conviviale.
«Sarah McCluskey?"
«Oui Madame."
« Madame la Directrice, je te prie », ai-je de suite corrigé.
«Sais-tu pourquoi tu es ici?"
«Oh, oui . . . Madame la Directrice, mais, vous voyez . . . je ne connaissais pas toutes ces règles. Vous voyez, on ne m'a pas donné le règlement et ... "
«Bien sûr, je comprends, mais les règles sont les règles, et elle doivent être respectées. Nul n’est censé ignorer la loi ! Il n'y a aucune échappatoire possible. N’es-tu pas d'accord? "
«Oh, oui Madame la Directrice, mais je ne les connaissais pas ! Je n'aurai jamais volontairement v i o l é les règles de l'école!"
«Eh bien, je l'espère. Cela aggraverait encore ta situation ! Hmmm ... oui, c'est une situation bien malheureuse. Je rappellerai à l’ordre l’instructeur concerné. Mais tu vois, mes mains sont liées, pour ainsi dire. Je ne peux pas juger de la question qui m'est envoyée. C’est ton instructeur qu’il fallait essayer de persuader de ne pas transmettre ton dossier . . . ». Il n’y avait pas de formulation plus claire pour lui faire comprendre que la prochaine fois elle devait accepter de passer à la casserole . . . ce qui ne la dispenserait pas de punition, mais cela il était inutile de le préciser pour l’instant !
« Je ne peux que remplir mes fonctions », repris-je. « Cependant, permet-moi de te donner un conseil. Je te conseille de m'obéir instantanément et complètement, sans hésiter, peu importe ce que je pourrais te dire de faire. Sinon, tu ne feras qu'aggraver la punition. Comprends-tu? "
Dès que j'eus prononcé les mots ci-dessus d'une voix maternelle, la pauvre Sarah fut déchirée entre la terreur et les conséquences sinistres de ce que je disais et l'espoir, contre toute espérance, qu'elle pouvait me pousser vers la clémence. Elle fit un signe de tête affirmatif avec empressement.
"Bien. Maintenant, as-tu déjà reçu des punitions corporelles?"
Son teint déjà naturellement pâle devint plus blanc encore: "Non, Madame la Directrice." dit-elle doucement.
Son institution religieuse ne pratiquait en effet que les punitions morales ! Les institutions religieuses ne sont plus ce qu’elles étaient.
«Et les autres filles t-ont donné une idée de ce à quoi tu peux-attendre? »
"Non, Madame la Directrice, sauf que certaines ont ri et m'ont dit que je serai une fille beaucoup, beaucoup plus sage après."
Elle a réussi à émettre un faible sourire. C'était un charmant sourire.
«Et bien Sarah, tout cela est regrettable, car tu as v i o l é un grand nombre de règles de cet établissement. J'ai le regret de t-informer que la punition sera assez sévère. "
Sarah reprit son souffle: «Oh! Oh, s'il vous plaît, non, Madame la Directrice!"
Chapitre 2 : Veste et chemise tombent au sol
C'est avec un sourire sur les lèvres que je me tournai vers les portes de l'armoire murale derrière moi. Lorsque les portes se sont ouvertes, les yeux innocents de Sarah s'écarquillèrent à la vue d'un tableau impressionnant de cannes, de s a n g les, de pagaies et de fouets.
«Es-tu familière avec ces objets, Sarah? », ai-je demandé à la pauvre a d o l e s c e n t e, qui recommença à S a n g loter de plus belle.
"N-non, Madame la Directrice . . . je crois que je sais à . . . à quoi servent certains d'entre eux. Mais, vous . . . ne peut pas ... pas ... "
Je me taisais, et Sarah a trouvé le courage de me poser une question qui faisait souffrir son jeune esprit.
«Madame la Directrice, . . . je . . . demande . . . quelle partie du corps allez-vous punir?"
Avec un rire facile, j'ai répondu: "Plusieurs parties sont possibles, ma chérie, mais la plupart du temps, c'est la partie sur laquelle tu t-assois! »
Rougissant, elle a lancé: «Ohhhh non! Oh, non! Oh, je ne peux pas Madame la Directrice . . . vous ne pouvez pas! Je veux dire . . . Je suis catholique. Fervente catholique. Pratiquante. Vous ne pouvez pas me frapper sur les parties intimes de mon corps. Je suis désolée, mais ce n'est pas possible! Ce serait un péché de le permettre. Il suffira d'appliquer une autre punition. Ou, ou, je vais devoir quitter l'école. Je suis désolée, Madame la Directrice! Je vais appeler mes parents maintenant! "
Et l'impétueuse se leva et courut à la porte. Bien sûr, je l'avais verrouillée de mon bureau.
"Laissez-moi sortir! Vous ne pouvez pas me retenir! Mon père va vous poursuivre en justice!"
J'ai été subjugué par la façon dont elle avait l'air belle avec ses longs cheveux roux légèrement en bataille et le désarroi qui marquait son visage.
"Sarah", lui dis-je froidement: «reviens t'asseoir. Maintenant".
La plupart des filles obéissent quand j'utilise ce ton de voix et Sarah n'a pas fait exception. Quand en grande détresse, la jeune fille fut nouveau assise, je lui ai donné une lettre. Elle était de son père et était adressée au directeur de l'école. Son contenu a été le coup de grâce de la pauvre fille, et je la regardais, amusée, lire les paroles de son père, la condamnant à la honte, l'humiliation et la douleur. Dans la lettre, le père de Sarah accordait explicitement à l'école le droit d'utiliser « tous les moyens de discipline les plus stricts, y compris corporels », que je jugeai nécessaire. Le document était obligatoire pour toute inscription.
Elle fut étourdie pendant quelques instants. Puis, fondant en larmes, la jeune fille tomba à genoux devant le bureau et me supplia: "Oh, Madame la Directrice, s'il vous plaît ne le faites pas pour moi. Punissez moi de quelque autre manière - pas sur mon . . . oh, je ne peux pas . . . »
"Retourne t-assoir ma fille!"
Elle obéit, en continuant de pleurer amèrement.
«Maintenant, rappelle-toi ce que j'ai dit au sujet de m'obéir instantanément et complètement, et dis- moi exactement quelle partie de ton corps as-tu le plus peur de me voir punir. Répons, maintenant! "
Intimidée, la pauvre répondit: "On ... sur mon ... mon postérieur, Madame la Directrice. Pas là, s'il vous plaît! Je ne peux pas permettre cela ».
En riant, je lui répondis: «Ma fille, ma fille, ton postérieur va être puni, exceptionnellement punis même, et tu n’as rien à dire sur la question. Est-ce clair ? . . . Bien. Maintenant, tu as ton mot à dire sur le fait de savoir si oui ou non tu va être passible de sanctions supplémentaires. Ce n'est tout simplement qu'en étant instantanément et totalement obéissante que tu pourras échapper à des aggravations de tes punitions, déjà particulièrement lourdes ! »
Bouleversée par les S a n g lots, Sarah a réussi à parler: «Oui, Madame la Directrice ... Oh, s'il vous plaît, ayez pitié de moi! "
« Allons Sarah, ma pitié t’est toute acquise ! Et dans la limite ou mon devoir pourra être remplis, tu pourras bien entendu compter sur ma clémence! »
Ensuite, après une lutte intense, apparemment, Sarah réussit à reprendre la parole.
« Mme Marks, je ne pourrai jamais vous laisser volontairement me punir et donc voir cette partie de mon corps . . . ma pudeur catholique le défend. Le seul moyen qui permettra d'y arriver, c'est par la f o r c e . Je vais vous résister, Madame la Directrice. Ainsi, mon honneur sera sauf."
J'ai été très impressionné. Il y avait là une jeune fille digne d'un défi! Vous vous demandez si
j'allai céder aux demandes courageuses de Sarah ? Bien sûr que non! J'étais encore plus déterminée à ce que Sarah subisse sa punition dans la plus grande humiliation et inconfort possible. Sa «pudeur catholique» allait recevoir un choc!
Après quelques secondes, j'ai répondu calmement: «Sarah, tu as le choix entre te soumettre volontairement ou involontairement. Ce que tu n’as pas, c'est la capacité à échapper au châtiment mérité qui t-attends. Si tu choisis de résister ... libre à toi. Mais tu devras en payer le prix. Mais si cela te permets d’avoir la conscience tranquille vis-à-vis de ta religion . . . Eh bien, permets-moi de proposer quelques possibilités hypothétiques. Disons que je t-ordonne de te pencher sur mon bureau pour que je puisse te donner une bonne dose de coups de S a n g le sur ta jupe. Souhaites-tu obéir? »
Sarah rougit, mais ses yeux brillaient de colère: «Non Madame la Directrice, je ne peux pas, mon code moral l'interdit! "
«C'est bien. Maintenant, disons que si tu résiste tu sera f o r c é e de prendre cette position, soit par moi ou, si nécessaire, avec l'aide de l'un ou les deux de mes jeunes assistants masculins et que tu devra ensuite recevoir ta correction les fesses à l’air, devant ces jeunes hommes. Je pense que ce serait un outrage moral beaucoup plus grand pour ta pudeur, n'est-ce pas? Dis-moi, que ferais-tu dans cette situation? "
Sarah était abasourdie. Apparemment, elle n'avait même jamais envisagé l'idée que ses fesses pourraient être corrigées à nu.
" Madame la Directrice, vous ne pouvez pas me faire peur avec ces menaces. Je sais que cette école ne permettrait jamais une indécence aussi diabolique, et vous êtes une femme horrible à simplement penser ce genre de choses! "
"Je vois. Je pense qu'il est temps de te démontrer que je suis bluffe pas."
J'ai poussé un bouton sur mon bureau et tout de suite derrière moi une porte s'est ouverte. Entrèrent deux beaux a d o l e s c e n t s bien bâtis. Sarah en eut le souffle coupé! Elle semblait presque prête à s'évanouir. Tout ce qu'elle pouvait faire était de regarder avec incrédulité ces deux garçons, qui avec empressement avaient déjà évalués les charmes féminins opulents de Sarah et devinés qu’ils allaient vivre de bien agréables moments.
J'ai dit: «Sarah, s'il te plaît, salue Sam et Ken. Ce sont mes assistants à temps partiel de l'école de garçons de l'autre côté de la route. Ils travaillent pour moi depuis plus d'un an, maintenant, et ils ont beaucoup d'expérience dans l'aide à m'apporter pour m'aider à convaincre les jeunes filles réticentes que toute résistance est futile. Inutile de dire que ces garçons aiment tout particulièrement leur emploi et seront très heureux de t-enlever jupe et culotte et de t-attacher si nécessaire afin que je te corrige comme tu le mérite! . . . Evidemment dans une telle situation, je ne peux garantir qu’en empêchant de te débattre leurs mains ne s’égarent par mégarde sur des parties plus intimes de ton corps !» "
Je me suis arrêté quelques secondes pour permettre à Sarah de mieux apprécier sa situation. J'ai continué: «Maintenant, Sarah. Une dernière fois. Veux-tu me promettre de te conformer à tout ce que je te commande et accepter ta sévère, très sévère, mais méritée, punition, ou Ken et Sam auront toute licence pour te mettre . . . en condition?
Sarah a été incapable de répondre au premier abord. Elle me jeta un regard éperdu et, quand elle a vu que je ne répondais pas, elle regarda à nouveau les jeunes garçons.
"Non, je ne peux pas! Je ne peux pas, je ne peux pas vous laisser faire n'importe quoi de moi, c'est indécent! ", finit-elle par dire.
« Eh bien, comme tu le souhaite. . . Ken, Sam, enlevez sa veste et sa chemise».
Avant que Sarah puisse faire quoique ce soit, les deux jeunes gens furent sur elle. Ils la saisirent tous les deux fermement. Très vite, la veste de la jeune fille, puis sa cravate et sa chemise se retrouvèrent au sol, en dépit d'une lutte furieuse et passionnée et moult cris au secours. Tout ce que Sarah put faire était de tenir ses bras et ses mains devant ses seins dans une tentative futile pour protéger sa pudeur.
Avant qu'elle ait fait cela, j'eus le temps d'en avoir plein la vue. Sarah ne portait pas le soutien-gorge réglementaire de l'école que j’avais personnellement créé. A dire vrai, c’était plus un ensemble de lacets et de froufrous, qui laissait notamment libre aux regards, les mamelons et les tétons.
Non, Sarah portait l'un de ses soutien-gorge totalement enveloppant, protégeant totalement ses seins et qui étaient tombé en désuétude avec l'avènement des années soixante. Et quel travail elle devait avoir à envelopper ses seins : ils semblaient être vraiment prodigieux ! Pleurant à chaudes larmes, la jeune fille se tourna vers moi démoralisée.
« Je suis désolé, Madame la Directrice! S'il vous plaît, s'il vous plaît laissez-moi récupérer mes affaires. Je ... Je ... vais faire ce que vous demandez! Je vais être obéissante! Je ne peux pas être vue comme ça! Surtout pas des garçons. Oh, faites les sortir, s'il vous plaît! "
Sarah ne pouvait visiblement pas passer à côté des regards de convoitise de ses deux nouveaux jeunes « amis ».
« Oui, bien », me disais-je, « nous allons voir ».
« Ken, Sam, vous pouvez allez maintenant, mais prenez votre butin avec vous."
De toute évidence déçus, mes deux assistants sont repartis, mais Sarah fut loin d'être soulagée en constatant qu'ils prenaient ses vêtements avec eux.
«Nooon! Oh, non! Cria t-elle, incapable de penser quoi faire d'autre en voyant ses vêtements partir.
«Maintenant, Sarah, tu crois toujours que je bluffe? » J'ai souri en lorgnant sans vergogne ses seins qui me rappelaient les cônes de deux missiles pintant mon nez. Ma vulve commençait à fondre de plaisir !
Fixant le sol, la jeune fille choquée dit: «Non, Madame la Directrice. S'il vous plaît, pourrais-je me rhabiller si je vous promets de vous obéir? "
«Je suis désolé, ma fille, mais il est trop tard pour cela. D’autant plus qu’il faut ajouter à la liste te tes infractions le non respect du port du soutien-gorge réglementaire ! Et si tu n'aime pas montrer tes seins, souviens-toi simplement que tu n'as que toi à blâmer et à examiner comment tu pourrais éviter de nouveaux embarras. "
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